ce matin, j'ai reçu avec une petite semaine d'avance, le livre de laila del monte
j'ai eu l'impression d'un rendez vous avec mon loulou
alors j'ai pris le livre, j'ai fermé les yeux en pensant à lui, en lui demandant de guider mes mains, mes yeux
voila le passage sur lequel je suis tombée
"quand je vis
cotton dans les grandes plaines de l'au dela, il courait dans des étendues vertes avec des cours d'eau. Il est impossible de décrire la sensation de l'herbe là bas. Déjà, ce sont des couleurs que nous ne voyons pas ici et j'ai aussi l'impression que l'herbe respire et parle. Ce qui ressemble à des ruisseaux parait etre un composé de cristaux de lumière et donne un effet liquide chatoyant. l'eau murmure aussi, elle chante même. Tout semble connecté et relié par des ondes de pensées.
Cotton paraissait heureux, léger
et surtout, il respirait librement."
Surf était un coton de tuléar et il mort parce qu'il étouffait....
je crois que vrai, faux
signe pas signe, hasard ou pas...
là je m'en fiche...de tout ce que peuvent dire les sceptiques (et même parfois une partie de mon esprit cartésien...)
je ne veux pas réfléchir, ces images ont embelli ma journée....pour moi elles sont bien la réponse de mon loulou... il respire... il est dans l'herbe qu'il aimait tant ici... et il répond à mes doutes...
cours mon loulou, cours....