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29 avril 2013

En communion avec nos défunts, de Monique et Jacques Blanc-Garin

En communion avec nos défunts
Dans l’infinitude de l’amour
de Monique et Jacques Blanc-Garin

La TCI n’est pas un exercice facile, mais c’est une preuve stupéfiante de la survie de ceux qui nous ont précédés dans l’autre vie. Les études approfondies faites par des scientifiques expérimentés dans l’étude du son et de la voix prouvent que celles que l’on reçoit par "transcommunication instrumentale" ne sont pas des voix laryngées ! Ces voix sont des impulsions vibratoires mais aucun organe humain ne les a portées jusqu’à nous. J’ai été témoin de ces expériences qui m’ont profondément troublée par la précision des messages. Ceux-ci sont toujours très courts mais tellement ciblés et souvent pleins d’amour et d’humour. Ce livre nous révèle avec précision et émotion ce nouveau moyen de communiquer avec ceux que nous aimons et qui sont passés de l’autre coté du voile.

Anne Ray-Wendling

En communion avec nos défunts : Dans l'infinitude de l'amour, Monique et Jacques Blanc-Garin, Editions Lanore, 2012, 272 pages

A propos des auteurs

Monique et Jacques Blanc-Garin se consacrent à l'association Infinitude, fondée pour venir en aide à ceux qui ont perdu un être proche et qui souhaitent ainsi entrer en communication avec lui.

Pour en savoir plus

- Ce lien où vous pourrez feuilleter le livre
- Le site de l'association Infinitude
- Le site des Editions Lanore
- Une plume pour deux âmes, de Christine André
- Le prêtre, la médium et le chien, du Père Jean Martin
- Nos animaux familiers ont-ils une âme ? de Joëlle Dutillet

Au sommaire

Avant-propos
Préface de l'Ange Amour
1ère partie : Le livre de Jacques
Prologue
1. La rencontre de l'ange
Elle était jolie
Au fil de la vie
2. Le charme rompu
L'alerte
La lente descente et l'accompagnement
Le premier envol
3. L'espérance
Les premiers signes
La recherche spirituelle
La confirmation
4. Le nouveau chemin
La rencontre
Le deuxième envol
L'accident
Le tournant décisif
2ème partie : Le livre de Monique
1. La première partie de ma vie
2. La fabuleuse révélation
La découverte
La certitude
3. Le temps de la recherche
Mes premiers messages
Les expériences en groupe
Mamie
4. Le nouveau chemin
L'amour par-delà le voile
La prise de conscience
3ème partie : Le livre de Jacques et Monique
1. Les premiers pas en commun
Les difficultés du début
La recherche en vidéo
Le cheminement avec Mamie
La naissance d'Infinitude
Le début des réunions
L'appel à la prudence
2. Les vagues de la vie
La première réunion de famille
La maison de nos rêves
Le mariage
La préretraite de Monique
Le départ de la maman de Monique
Le départ de Mamie
Le départ de Claude-Pierre
3. Le chemin de la spiritualité
L'écriture inspirée
Les signes et manifestations
Les facéties d'un appareil auditif
La disparition d'une paire de lunettes
Le déplacement d'un cadre
La chute d'un cadre
L'imbrication des porte-clefs
La disparition d'un appareil auditif
Une opération évitée
Une intervention persuasive
Une apparition messagère
La Basilique de Montligeon
4. La vie d'Infinitude
L'accumulation des preuves
Lorsque nous nous sommes branchés... avec l'Au-delà
Les handicaps n'existent plus de l'autre côté
Les signes de reconnaissance
Nos petits amis à quatre pattes
Sur les routes de France
L'expérience des médias
Une évolution inattendue
Epilogue
Remerciements

L'avant-propos

En fonction du succès remporté par la première édition de ce livre, nous avons eu à coeur de poursuivre ce partage au travers d'une troisième parution. Cette décision a été largement motivée par les nombreux courriers ou commentaires que nous avons reçus, aussi bien pour l'impact des témoignages qui y figurent que pour l'espérance en la vie après la mort terrestre qu'il suscite.
C'est en effet un formidable message d'espoir pour tous ceux que la mort a privé d'un être cher, pour tous ceux qui, suite à cette épreuve, se culpabilisent face à l'opportunité de refaire une vie à deux et de continuer la route, et enfin pour tous ceux qui, au seuil d'une fin de vie, ressentent parfois l'angoisse les assaillir devant l'inconnu.
Les témoignages reposent en majeure partie sur les expé­riences vécues au travers de contacts avec les défunts par l'intermédiaire de la TCI (Trans Communication Instrumentale), fabuleux moyen d'enregistrement magnétique de messages, de même que par la TCM (Trans Communication Mentale), transcription de messages par le biais de l'écriture dite spirituelle.
Malgré cela, et de manière volontaire, l'ouvrage ne présente pas un caractère technique, même s'il conserve un aspect initiatique, car nous avons souhaité qu'il soit accessible au maximum de personnes.
Cependant, depuis sa parution en 2002, bien des choses ont évolué, d'une part au niveau de l'association Infinitude et de l'aide aux personnes en deuil qu'elle représente, et d'autre part au niveau de la TCI dans ses aspects pratiques, techniques et expérimentaux à travers le monde. L'investissement actif d'Infinitude dans la recherche internationale a permis de rencontrer bien des chercheurs et de collecter les résultats de leurs expériences, matière qui fait l'objet de publications régulières dans la revue trimestrielle de l'association "Le Messager". C'est ainsi que nous avons pu recueillir de primordiales informations sur les moyens techniques utilisés par les grands chercheurs internationaux, et sur leurs résultats, en Allemagne, au Brésil, en Espagne, aux Etats-Unis, en Italie... étant entendu que malheureusement cette recherche est quasi inexistante en France. Voir toute information à ce sujet dans le deuxième livre des auteurs L'infinitude de la vie.
C'est à la lumière de toutes ces évolutions, et de la somme d'informations qui en découle, venant chaque jour alimenter le dossier des preuves concernant la réalité de l'au-delà et avérant par là même la continuité de la vie, qu'un nouvel ouvrage est en préparation.
Pour ce qui concerne ce livre, écrit à deux mains, il repré­sente le fruit de deux destins bien opposés dont les méandres furent disposés de manière à ce qu'ils se rencontrent un jour pour se poursuivre de concert.
Il se décompose en trois parties : les deux premières concernent le vécu de Jacques et de Monique, avant qu'ils ne se rencontrent, la troisième présente leur cheminement commun, leurs actions, recherches et découvertes à travers la TCI et la TCM, au sein du mouvement d'aide aux personnes en deuil, constitué par l'association Infinitude.
Enfin, comme les informations qui constituent ce livre sont en grande partie le résultat d'une profonde communion avec l'invisible et nos défunts, nous avons à coeur de n'en faire aucun bénéfice, il est donc vendu au profit du dressage des chiens d'aveugle.

Un court extrait du chapitre
"Nos petits amis à quatre pattes"

../.. En transcommunication, nous avons eu de nombreuses preuves de leur survivance, tant de l'accueil qu'ils reçoivent que de l'accueil qu'ils nous font lorsque notre tour arrive.

Alors que, débutante en TCI, je faisais un appel en direction de mon père un dimanche après-midi vers 16h, je l'entendis me dire : "Ton chien, il vient." Cette phrase me laissa perplexe car, à l'époque, je n'avais pas de chien. Cependant, le lendemain mon fils Thierry me téléphonait pour me dire que son berger allemand qui partageait sa vie depuis 12 ans était mort la veille, vers 16h, d'une crise cardiaque. Inutile de vous dire que la phrase de mon cher papa prenait tout son sens et que nous avons éprouvé un réconfort énorme, car j'étais moi aussi très attachée à ce chien. ../..

Les animaux et la TCI
un article de la revue Le Messager n°68
établi par Jacques Blanc-Garin

Dans son livre Le prêtre, la médium et le chien, Jean Martin nous apprend qu'il a capté des messages parlés de son chien sur magnétophone. Dans cet article de 8 pages, vous découvrirez d'autres témoignages similaires, avec notamment le cas d'un perroquet.



28 avril 2013

En contact avec l'invisible, par Henry Vignaud et Samuel Socquet-Juglard

En contact avec l'invisible
Témoignage d'un médium sur l'au-delà
par Henry Vignaud
entretiens avec Samuel Socquet-Juglard
préface de Stéphane Allix
postface du père François Brune

Nous avons tous entendu parler de médium. Le phénomène nous intrigue et son évocation éveille en nous des émotions diverses. Surtout si nous venons de perdre un proche. Comment en savoir plus ?

Dans ce livre qui mêle expertise et témoignage, un des grands médiums actuels - qui dés l'âge de 7 ans "voyait des morts" dans la maison de ses parents -, s'appuie sur plus de 40 années de vie quotidienne en contact avec le monde de l'invisible pour nous éclairer.

Il explique pas à pas les modalités de sa pratique et nous révèle ainsi que le coeur de son action consiste à aider les personnes à se libérer de la souffrance du deuil en leur faisant comprendre et vivre l'expérience de l'après-vie, car "le médium est un lien entre les défunts et les vivants".

En contact avec l'invisible, Henry Vignaud, Entretiens avec Samuel Socquet-Juglard, Préface : Stéphane Allix, Postface : François Brune, InterEditions (Dunod/Inrees), 2013, 192 pages

A propos des auteurs

Henry Vignaud est l'un des médiums les plus reconnus en France. Il exerce cette profession depuis plus de 20 ans, avec rigueur, une très grande honnêteté et beaucoup de sensibilité. Il a participé à la série documentaire "Enquêtes extraordinaires" et a accepté d’être testé à plusieurs reprises, notamment par Stéphane Allix, dans le cadre de l’écriture de son livre "La mort n’est pas une terre étrangère".

Samuel Socquet-Juglard est journaliste. Il a co-écrit divers ouvrages dont "Etes-vous au parfum ?" et "Ces enfants empêchés de penser".

Stéphane Allix est journaliste, ancien reporter de guerre, réalisateur et écrivain. Il a fondé l'INREES (Institut de recherche sur les expériences extraordinaires), animé la série documentaire "Enquêtes extraordinaires" diffusée sur M6, et dirigé la collection "Expériences extraodinaires" parue en avril 2013.

Le père François Brune est un prêtre catholique français. Il est l'auteur de nombreux ouvrages concernant la théologie, la spiritualité, la vie après la mort et le paranormal

Au sommaire

Préface de Stéphane Allix
1. Le médium, un lien entre les défunts et les vivants ?
De la souffrance du deuil à l'amour retrouvé :
comment le dialogue peut-il continuer par-delà la mort ?
2. Les coulisses d'une séance de médiumnité
Signes de reconnaissance, efforts du défunt, changement de plan, ressentis du médium...
Pourquoi le défunt a-t-il souvent besoin d'un intermédiaire pour contacter ses proches ?
3. Genèse d'une médiumnité
Depuis la petite enfance peuplée d'apparitions jusqu'à la rencontre avec le guide,
comment un médium est-il "formé" par l'au-delà ?
4. Flashs sur le passé et sur le futur
De la médiumnité à la voyance, ou comment les visions du futur aident parfois au présent
5. Attaques psychiques et intrusions d'esprits
Que font vivre à un médium les esprits qui lui en veulent ?
6. Le merveilleux de la vie continue ici-bas
Par-delà les manifestations et les liens avec l'au-delà, comment garder le goût pour la vie ?
Postface du père François Brune

Pour en savoir plus

- Cet entretien avec l'auteur où l'on apprend notamment que Henry Vignaud et Samuel Socquet sont tous deux végétariens (voir aussi les extraits choisis)
- Ce lien ou ce lien pour feuilleter le livre (les aperçus disponibles sont différents)
- Des avis de lecteurs
- Le site de Henry Vignaud
- Le site d'InterEditions
- Le site de l'INREES
- La collection Expériences extraordinaires
- La série Enquêtes extraordinaires
- L'émission La grande soirée du paranormal : EMI, médiums et au-delà
- Des livres de François Brune

Quelques extraits choisis
au sujet des animaux

Ch.6.9 : Vous avez évoqué une histoire de voyance autour d'une chienne, mais avez-vous eu des manifestations d'animaux lors de contacts médiumniques ?

Ça m'arrive très souvent ! J'ai cessé toute nourriture animale depuis l'âge de 22 ou 23 ans. A cette époque, j'ai volontairement visité un abattoir pour aller jusqu'au bout de ma démarche. Chacun est libre mais j'espère secrètement qu'un jour l'homme dit "civilisé" n'éprouvera plus ce besoin de manger des animaux. Notre civilisation moderne peut, je pense, s'en passer. A travers le monde, d'autres ethnies et certains peuples n'ont à ce jour pas ce choix et tuent par besoin, mais selon des codes et des rituels de chasse qui respectent les animaux.
Qu'en est-il de cette conscience dans notre quotidien d'occidentaux ? Il y a certes de réels progrès, mais j'ai rencontré des personnes qui croyaient à la survie de l'âme humaine et étaient surprises d'apprendre que l'âme des animaux survivait elle aussi. De l'homme ou de l'animal, lequel des deux est le plus évolué ?

Ch.6.10 : Quelles "preuves" vous ont été données de la survie de l'âme des animaux ?

Depuis très longtemps, il m'en a été donné de magnifiques. J'affirme que les animaux aussi vivent dans l'au-delà : des preuves m'ont été données par l'effort que j'ai fait (et qui n'en est plus un aujourd'hui) et par certaines séances.
Un jour, au cours d'une séance de médiumnité avec un monsieur, j'entends mon guide me dire "Remercie-le d'avoir sauvé la vie à un hérisson". L'homme, d'abord surpris, me dit que oui, il y a quelques années il a effectivement enlevé de la route un hérisson qui traversait... A l'inverse, lors d'une autre séance de voyance, l'esprit d'un chien apparaît derrière l'épaule droite de mon client et me regarde d'un air triste. Il a de longues oreilles tombantes, le poil ras, couleur feu, et regarde aussi l'homme avec tristesse. Je décris cet animal à mon client qui le reconnaît comme le sien, et quand je lui dis qu'il a l'air triste, l'homme se décompose... Il m'explique qu'effectivement, c'était son chien, mais qu'il le battait sans cesse car il ne l'aimait pas.
Pendant une autre séance en privé, j'ai aussi vu les esprits de plein d'oiseaux voler autour de la cliente : c'était l'âme groupe des oiseaux qui la remerciaient pour les avoir nourris pendant des années. On sait que les oiseaux ont de tout temps été les messagers, or dans l'au-delà ils continuent aussi de jouer ce rôle.
L'âme groupe des oiseaux, ça me rappelle d'ailleurs une autre histoire, très belle, à propos d'une chouette. Lors d'une séance publique, à Nantes en 2003, je vois l'esprit d'une chouette virevolter dans la salle, elle virevolte depuis la scène, où je me tiens, en direction du milieu de l'assemblée, puis elle s'approche d'une femme et se tient là. Je m'adresse à cette femme et lui décris cette chouette que je vois près d'elle. Elle me confirme avoir secouru une chouette au bord de la route, qui avait l'aile cassée, l'avoir conduite chez le vétérinaire puis l'avoir recueillie chez elle. L'oiseau est venu lors de la séance pour lui adresser un signe de reconnaissance et de remerciement. ../..

[Ce passage à propos de la chouette est intéressant car s'il est de plus en plus souvent question de la survie de l'âme des animaux familiers dans les parutions actuelles, celle des animaux sauvages est encore très peu abordée. Un passage qui m'évoque le livre Nos animaux familiers ont-ils une âme ? de Joëlle Dutillet où figure l'histoire d'un autre animal sauvage, un lion, dont l'esprit est également venu remercier un homme de l'avoir soigné.]

Un autre extrait

../.. Le jour où Caramel est entré dans ma vie, je reçois de Nicole une carte postale avec un chat rouquin. J'ai posé cette carte dans la cuisine. Des mois passent et soudain, pendant plusieurs jours d'affilée, la carte tombe par terre de manière intempestive sans que rien, ni courant d'air ni porte qui claque, ne puisse expliquer cette chute récurrente. J'ai senti ça comme un signe. Quelques semaines plus tard, j'entends un impact dans la petite impasse où je vivais, je sors et je trouve Caramel inanimé, écrasé par un chauffard. Il avait 7 mois.
Pendant plusieurs nuits qui ont suivi sa mort, j'ai entendu ses griffes sur le sol, alors même que j'étais parfaitement réveillé. J'hébergeais à cette époque un ami qui n'avait aucune sensibilité médiumnique, je suis allé le réveiller, lui aussi a entendu ce bruit de griffes...
Une nuit, j'ai senti des pattes de chat sur mon corps, j'écarquille les yeux et soudain je le vois, matérialisé, avec la densité physique de ses poils. Il m'a léché le bout du nez, puis il a sauté sur la table de nuit où j'ai entendu ses pattes, puis plus rien. Au réveil, mon ami me dit qu'il a lui aussi eu la vision de Caramel pendant la nuit, et que l'esprit matérialisé du chat était aussi venu lui lécher le bout du nez. Il s'agissait donc d'une double manifestation identique, ce qui est très rare.
Pendant plusieurs nuits avant et après cette double manifestation, nous avions entendu Caramel qui se faisait les griffes sur le tapis, et qui remuait les affaires sur la table de nuit en passant d'un lit jumeau à l'autre, comme il avait l'habitude de la faire de son vivant. Une autre nuit, alors que je dormais dans le salon et avais prêté ma chambre à un couple d'amis (lui était le fils de Cécile Véléda, mon employeur du temps où j'étais costumier et dont j'étais resté proche ; elle était associée à Mario Franceschi, le metteur en scène et styliste bien connu), cet ami que j'hébergeais a eu lui aussi la même manifestation de Caramel, dont il a senti la densité sur son corps et qu'il a vu, matérialisé. Lui qui ne croyait pas du tout à cela a eu très peur, si peur qu'il a préféré venir dormir dans le canapé avec son épouse, et moi je suis retourné dans ma chambre. ../..

27 mars 2013

Le prêtre, la médium et le chien, du Père Jean Martin

Le prêtre, la médium et le chien
Dialogues avec nos animaux décédés
du Père Jean Martin

Mise à jour : ajout des extraits
et des auteurs cités

Dans son précédent ouvrage Horizon de lumière, Jean Martin nous faisait partager, à travers une réflexion sur la souffrance humaine et animale, sa foi en la survie des hommes mais aussi des animaux. Il traitait également des relations qui unissent les animaux domestiques à leurs maîtres, notamment par le biais des phénomènes psychiques.

Dans ce nouvel ouvrage, il fait un pas de plus en affirmant que les relations entre les hommes et les animaux, lorsqu’elles sont profondes, subsistent au-delà de la mort physique. Elles semblent même se développer puisque, selon l’auteur, les animaux décédés sont capables de nous envoyer des messages télépathiques qui peuvent prendre, par la transcommunication, une forme vocale. Jean Martin nous parle abondamment de l’expérience qu’il a réalisée avec son fidèle chien Kim, qui s’est manifesté à lui après sa mort.

L’auteur ne cache pas ses interrogations au sujet de ces contacts, sa difficulté même à les croire possibles. "Peu à peu, dit-il, mes doutes ont été balayés sous le choc de la réalité : Oui, mon chien se manifestait à moi, me démontrant que, non seulement il survivait après sa mort, mais encore qu’il voulait garder le contact avec moi. Il peut en être de même pour tous les animaux décédés et aimés." Voilà un livre étonnant qui ouvrira sans doute des chemins nouveaux.

Le prêtre, la médium et le chien, Jean Martin, Editions JMG, 2003, 201 pages

A propos de l'auteur

L'abbé Jean Martin est belge. Né en 1936, il est ordonné prêtre en 1961. Docteur en philosophie de l'université de Louvain, prêtre de paroisse puis professeur de séminaire, il est l'auteur de plusieurs livres sur l'Au-delà et il s'occupe aussi d'accompagnement auprès des personnes dans le deuil.

Le sommaire

Préface de Chantal Hoyois
Introduction
1. Vibration de la pensée
2. Le sixième sens des animaux
3. La vie secrète des plantes
4. Dans la rosace de l'amour
5. L'ami chien
Epilogue
Si le Christ avait un chien
Conclusion
Gratitude
Table des auteurs cités
Notes

Pour en savoir plus

- Le site des Editions JMG
- Karine après la vie, de Didier Van Cauwelaert, un livre dans lequel les parents de Karine écrivent avoir obtenu des aboiements et des miaulements en TCI, mais aussi, tout comme le Père Jean Martin, le message verbal d'un chien décédé.
Des livres du même auteur
- Nul n'est une île
- A l'écoute du monde animal
- Horizon de lumière
- Des signes par milliers
Des articles
- Les animaux et l'au-delà (1)
- Les animaux et l'au-delà (2)
- Les animaux et l'au-delà (3)

La table des auteurs cités
(qui figure à la fin de l'ouvrage et à laquelle j'ai ajouté des liens)

- Albertini Lino Sardos, L'au-delà existe, Ed. Filipacchi
- André Christine, Eclatante survie, Les moissons de l'espérance, Ed. JMG
- Asimov Isaac, Le cerveau, Ed. Marabout université
- Atkinson William Walter, Vibration de la pensée, Ed. Astra
- Barlow Christine, Le chat et le divan, Ed. aux Arts
- Beaucarne Julos, Le silence des galaxies, Ed. L.H. France
- Bertrand René, La télépathie et les royaumes invisibles, Ed. Laffont
- Blondin Robert, Le bonheur possible, Ed. de l'homme
- Boone J. Allen, Des bêtes et des hommes, Ed. Dangles - Livre en ligne
- Bourin Jeanne, Le sourire de l'ange, Ed. Julliard
- Bozzano Ernest, Les manifestations métapsychiques des animaux, Ed. JMG - Livre en ligne
- Canfield Jack et Hansen Mark Victor, Bouillon de poulet pour l'âme, Ed. J'ai Lu
- Combes Claudette, Perles d'éternité, Ed. Trédaniel
- Damien Michel, L'animal, l'homme et Dieu, Ed. du Cerf
- De Wailly Philippe (Dr), Le 6ème sens des animaux, Ed. du Rocher
- Elsaesser-Valarino Evelyn, D'une vie à l'autre, Ed. Dervy
- En collaboration : La messe est une histoire d'amour, Ed. Cefo Bruxelles
- Estep Sarah-Wilson, La communication avec les morts, Ed. du Rocher
- Galot Jean, L'Esprit-saint, personne de communion, Ed. "Parole et silence"
- Gilbert Guy, Dealer d'amour, Ed. Stock
- Gourvennec Arnaud, Vers le soleil de Dieu, Ed. Sorlot et Lanore
- Leloup Jean-Yves, Manque et plénitude, Ed. Albin Michel
- Lhor Jacques, Les nouveaux horizons de la télépathie, Ed. Magellan
- Merz Blanche, L'âme du lieu, Ed. Georg
- Monnier Pierre, Lettres de Pierre, Ed. Lanore
- Moody Raymond, La vie après la vie, Ed. Laffont
- Morgan Marlo, Message des hommes vrais au monde mutant, Ed. J'ai Lu
- Morton Marie-Louise, Où et comment retrouverons-nous nos disparus ?, Ed. Astra
- Omraam Mikhaël Aïvanhov, Les secrets du livre de la nature, Ed. Prosveta
- Prieur Jean, L'âme des animaux, Ed. Laffont, L'aura et le corps immortel, La mémoire des choses, Ed. Sorlot et Lanore
- Rabanne Paco, La leçon indienne, Ed. J'ai Lu
- Ragueneau Philippe, L'autre côté de la vie, Ed. Pocket
- Ring Kenneth, En route vers Omega, Ed. Laffont
- Simonet Monique, Porte ouverte sur l'éternité, Ed. du Rocher
- St John Patricia, Le message des dauphins, Ed. J'ai Lu
- Tomkins Peter et Bird Christopher, La vie secrète des plantes, Ed. Sorlot et Lanore

Quelques extraits choisis

Un passage du chapitre 1. Vibration de la pensée

p42-p44
../.. Dans l'écriture dite "automatique", c'est l'entité de l'autre monde qui tient le crayon, le médium étant réduit si l'on peut dire à un simple relais entre le papier et l'interlocuteur invisible.
Un des exemples les plus spectaculaires est le cas d'une certaine "Madame Anita" qui reçut, depuis l'au-delà, les messages d'Andrea, le fils d'un avocat de Trieste, catholique convaincu : Linos Sardos Albertini. C'est à travers Anita et par écriture automatique que celui-ci apprit que son fils avait été assassiné et que son corps se trouvait dans le Pô, à Turin.
M. Albertini décrit de façon saisissante la manière de procéder d'Anita :
"Sans aucun apparat ou mise en scène, avec la plus grande simplicité, quelle que soit l'intensité de la lumière, dans quelque ambiance qu'on se trouve, elle pose la main gauche ouverte dans un plan vertical et un peu surélevée par rapport à une feuille de papier. Elle pose contre la main une pointe feutre ou un quelconque stylo à bille (elle employa même un jour un tube de rouge à lèvres). Le feutre, au lieu de glisser comme il adviendrait à toute autre personne, adhère à la main, Madame Anita affirme en outre percevoir un petit battement.
Elle demande mentalement à son propre père, décédé depuis de nombreuses années, de l'assister. Quand elle a reçu une réponse positive, elle pose des questions sur le cas qui la préoccupe.
Madame Anita n'est pas gauchère ; cependant, elle emploie exclusivement la main gauche lors de ses activités médiumniques. Le feutre, pour donner ses réponses, n'écrit pas de gauche à droite mais bien de haut en bas. Parfois, il avance lentement ; à d'autres moments, au contraire, il accélère tellement que Madame Anita réussit difficilement à le suivre avec la main. Il advient aussi qu'à l'improviste, le feutre au lieu de continuer à écrire, pousse la main à s'éloigner de la ligne et se met à tracer des signes laissant tout le monde surpris. Il en résulte un petit dessin qui sert à mieux éclairer la réponse ou à fournir des détails supplémentaires.
Pendant que la pointe écrit, Madame Anita est souvent décontractée : elle fume, regarde la télévision, discute de sujets variés avec les personnes présentes.
J'ajoute que quand elle reçoit des réponses, elle n'en connaît jamais le contenu, soit parce que celles-ci sont écrites de haut en bas, soit parce qu'elle est distraite. C'est seulement à la fin, après avoir retourné la feuille de papier, qu'il est possible de lire la réponse de gauche à droite.
Madame Anita peut écrire de cette façon à n'importe quel moment et dans n'importe quel lieu : elle l'a fait plusieurs fois dans le hall d'un hôtel, dans une auto et à beaucoup d'autres endroits, tant à l'intérieur qu'à l'extérieur." (Lino Sardos Albertini, L'au-delà existe, Ed. Filipacchi, pages 28 et 29)

Un passage du chapitre 2. Le sixième sens des animaux

p64-p65
../.. Certaines espèces animales sont-elles plus douées que d'autres pour ce type de contact ? Sans nul doute ! Et l'on pense évidemment à l'incroyable possibilité qu'ont les dauphins d'établir une sorte de "pont télépathique" avec les humains, à un point tel que certains observateurs ont l'impression d'être fouillés jusque dans leur être le plus intime par ces animaux.
C'est notamment ce que raconte Patricia St John dans son livre : "Le message des dauphins".
Patricia St John est une institutrice américaine, excellente nageuse qui, un jour dans un bassin, fut impressionnée par le regard d'un dauphin : un regard qu'elle qualifie de "direct et d'inquisiteur".
Patricia écrit : "J'avais en face de moi l'être le plus gracieux que j'eusse jamais vu. Je l'observais se déplacer sans effort dans le milieu aquatique, avec des mouvements mieux assurés que ceux d'une danseuse étoile. Aucun doute. C'était le monde du dauphin "Spray" et j'y étais lourde comme une pierre. Son oeil gauche s'agrandit et chercha à établir le contact avec le mien à travers mon masque de plongée. Je n'avais jamais, de ma vie, connu un regard si direct, puissant, intellectuel. Même pas chez les représentants de ma propre espèce.
Je retenais mon souffle, gardant emprisonné aussi longtemps que possible l'air inspiré, en souhaitant que ce moment fût éternel.
J'avais l'impression d'être sondée en profondeur. Je sentais le mammifère fouiller littéralement mon être intime, celui que je cachais à mes propres yeux.
L'exploration s'intensifiant, je commençais à ressentir une bouffée d'émotion, comme si la bête avait repéré un bouton enfoui et avait appuyé dessus pour libérer, à fins d'examen, le contenu qu'elle commandait. Elle me "connaissait" - quoi que cela pût signifier. D'une certaine façon, elle avait cherché, trouvé et touché ce moi, cette âme ou cet esprit dissimulé pendant des années.
En quittant le bassin ce premier jour, je ne pouvais deviner que j'entamais un chemin qui m'amènerait à briser les barrières de la communication entre le dauphin et l'homme". (Patricia St John, Le message des dauphins, Editions J'ai Lu, pages 7 et 8) ../..

Un passage du chapitre 5. L'ami chien

p157-p160
6 janvier 2002
Ce matin, pendant que je tente un contact télépathique avec mon chien, je branche une cassette audio et j'enregistre en même temps.
J'entoure cette expérience d'un grand climat de prière, plus encore que pour les contacts avec les humains décédés.
L'expérience terminée, j'écoute la cassette.
Il y a de nouveau des voix :
" - Me voilà.
- Tu sais, c'est moi Kim.
- Je suis là. C'est bien là mon intention."
Puis vient une voix grave, une de ces voix que, dans mes enregistrements, j'attribue aux "guides spirituels". Ceux qui pratiquent la transcommunication savent que ces voix sont différentes des autres. On me dit : "Mon fils, tu le notes bien (j'étais en train d'écrire le message télépathique) : sans paroles du chien, sans langue et sans obstacles".
Ce message m'apparaît capital et très éclairant
- J'y vois d'abord un encouragement par rapport à mon effort "d'écriture" : "Tu le notes bien". Le risque d'imagination, d'interférences avec ses propres pensées n'est jamais négligeable dans ce genre de démarche.
- J'y vois ensuite une indication relativement claire sur ce qui se produit. Mon chien ne s'est pas mis à parler parce qu'il est arrivé dans l'au-delà ! J'imagine le genre de plaisanteries que les esprits mal intentionnés pourraient formuler à la suite de cette affirmation ! Mais non : il n'y a, au départ, pas de paroles : "sans paroles du chien" ! Il n'y a même pas de langage : "sans langue".
Que se passe-t-il alors ? A mon sens, il se passe plusieurs choses :
- d'abord mon chien est bien vivant dans l'autre monde. J'ai consacré tout un volume pour étayer l'existence de l'âme animale ("Horizon de lumière").
Il ne me semble plus opportun d'argumenter à nouveau sur ce sujet.
- ensuite, il a acquis, au témoignage de Pierre Monnier, la faculté de communiquer ses pensées.
"Le fait nouveau de communiquer leurs pensées et de recevoir celles des âmes humaines est pour eux un incomparable bonheur."
- Cette "communication de pensée" n'est pas une pure abstraction. Nous avons vu précédemment qu'un scientifique de renom, le professeur Louis-Marie Vincent, affirme qu'il s'agit d'une énergie. Il dit : "L'énergie est une et je pense effectivement que la pensée est une forme particulière de l'énergie".
- Or l'énergie a la propriété bien connue de se transformer. En ce cas précis, je suis convaincu que "l'énergie pensée-amour" prend une forme vocale. Sarah Estep dit que la ligne télépathique de l'au-delà convertit automatiquement ou programme ce que les entités spirituelles veulent communiquer, en une langue compréhensible à leur correspondant. Ce serait une sorte de "convertisseur vocal".
On revient donc aux paroles et à la "langue" mais dans un sens second uniquement.
Rappelons-nous ce que disait le témoin interrogé par le docteur Moody, cette personne ayant vécu une N.D.E. : "Je savais ce qu'ils pensaient, exactement ce qu'ils pensaient, mais seulement en idée, pas dans leur vocabulaire".
C'est à ce niveau global de l'idée que la transmission se fait et ensuite seulement, elle s'habille des mots du correspondant. C'est pourquoi le message "audio" que j'ai reçu, sonne particulièrement juste : "Tu le notes bien, sans paroles du chien et sans langue !".
- Le "guide" ajoute cependant : "et sans obstacle". Ce qui me laisse supposer que le message ne subit pas trop de déformation en passant par ma "matière grise", que les pensées transmises par mon chien sous forme d'énergie ne perdent pas de leur substance et ne s'édulcorent pas en prenant une forme vocale audible à mes oreilles.
Je suis reconnaissant à cette "entité" sûrement élevée, qui a joué pour moi ce jour-là le rôle du professeur de philosophie. Elle m'a aidé à mieux cerner ce que je ne faisais qu'entrevoir et surtout elle a achevé de me rendre plausibles les messages vocaux émanant de mon vieil ami, ces messages qu'il signe : "C'est moi Jean. C'est Kim !" ; ces messages que les miens entérinent depuis l'au-delà : "Crois qu'il te parle, petit Jean, sans embarras !"

Un entretien vidéo avec le Père Jean Martin
par Yann-Erick
Source : Le site Elevation




08 mars 2013

Adieu, mon ami, de Gary Kowalski

Adieu, mon ami
Faire le deuil de son animal de compagnie
de Gary Kowalski

La mort d'un animal de compagnie est une expérience souvent déchirante. Dans cet ouvrage, Gary Kowalski propose des conseils chaleureux et judicieux pour traverser cette épreuve. Il y relate des anecdotes touchantes et propose des solutions pratiques comme de prendre soin de vous durant la période de deuil, créer des rituels qui honorent le souvenir de votre animal et parler de sa mort aux enfants. Voilà un ouvrage merveilleux et réconfortant pour tous ceux qui connaissent la douleur de perdre leur petit compagnon.

Adieu, mon ami : Faire le deuil de son animal de compagnie, Gary Kowalski, Editions AdA, 2013, 182 pages

A propos de l'auteur

Le révérend Gary Kowalski est un ministre du culte unitarien universaliste et l'auteur de sept ouvrages sur la nature, la spiritualité, la science et l'environnement. Diplômé de la faculté de théologie de Harvard, il a été au service de congrégations au Vermont, au Nouveau-Mexique, à Washington et dans le Massachusetts.

Pour en savoir plus

- Les Editions AdA
- Les animaux ont-ils une âme ? de Gary Kowalski
- Le documentaire Mon chat est mort ce soir
- Deuil animalier, de France Carlos
- Quand l'animal s'en va, de Marina Von Allmen-Balmelli
- Accompagner son animal vieillissant, de Martine Golay Ramel
Du même éditeur
- Les animaux et l'au-delà, de Kim Sheridan
- Nos compagnons éternels, de Jenny Smedley
- La vie divine des animaux, de Ptolemy Tompkins

07 mars 2013

Communiquer avec son animal disparu, de Nicole Deruisseau

Communiquer avec son animal disparu
de Nicole Deruisseau

Le bouleversant témoignage d'une mère
qui dialogue avec sa petite chienne disparue
grâce à l'amour de son fils parti dans l'Au-delà.

Les animaux ont-ils une âme ? En tout cas ce livre apporte une réponse des plus claires : l’animal n’est pas ce robot sans âme lié par les seuls instincts, il est aussi une créature hybride avec laquelle l’humain entretient une multiplicité extraordinaire de relations qui l’engagent au plus profond de ce qu’il est et de ce qu’il croit être et pourquoi ne pas le dire, l’animalité reste un horizon indépassable de notre humanité. Le lecteur pourra assister pas à pas aux étapes qui peuvent nous amener à retrouver le fil d’Ariane d’un dialogue avec nos compagnons passés dans l’Au-delà. A l’heure où l’homme inflige tant de souffrance aux animaux, de l’irrespect à la maltraitance et à la vivisection, ce livre se veut à la fois un témoignage et une défense sur le plan moral et métaphysique de nos amis les bêtes.

Le but de ce livre :

- Faire savoir à tous :

Qu’une vie après la mort est bien réelle. Que l’Au-delà existe. Que les êtres chers qu’ils ont aimés sur terre et qui sont partis, sont heureux là-haut et pensent à eux avec beaucoup d’amour. Que pour la plupart, ils sont "en voie" vers le bonheur éternel ou l’ont déjà atteint.

- Faire savoir à tous ceux qui aiment les animaux, tous les animaux, du plus minuscule au plus gigantesque :

Qu’une vie après la mort est offerte aussi à ces animaux. Que tous les animaux ont leur place dans l’Au-delà au même titre que les "humains". Qu’ils y partagent avec eux, ensemble, le même bonheur, l’amour et la paix dans ce "monde après la vie". Qu’ils y sont heureux et attendent ceux qui les ont aimés.

Communiquer avec son animal disparu, Nicole Deruisseau, Editions Postscriptum, 2010; 429 pages

A propos de l'auteur

Après avoir travaillé comme cadre auprès de différentes administrations à Bruxelles, Nicole Deruisseau décide avec son fils de profiter d'une vie plus saine et de s'exiler au Sénégal où ils construisent entre fleuve et océan leur petit hôtel sur le sable, leur paradis, "l'Oasis". Malheureusement Nicolas décède électrocuté en août 1998 et Nicole poursuit seule la gérance de leur hôtel. Elle y passera 9 années entourée de ses animaux, employés, amis, connaissances, clients et surtout, avec l'amour de sa petite chienne Carpette. Très vite elle entre en communication avec Nicolas et publiera son premier livre "Lettres de mon fils" (Editions Michel d'Orion, 2001), pour faire connaître à tous, par ses témoignages, ce cadeau divin qui lui a été donné, cet immense espoir en la vie après la mort.

Nicole Deruisseau : Les animaux et le spiritisme
Ecrit par Solweg
Source

Interview par les éditions Post-Scriptum de Nicole Deruisseau à propos de la parution de son livre "Communiquer avec son animal disparu".

Dans les yeux de l'animal, le regard que nous croisons semble nous renvoyer à nous mêmes et à nos propres angoisses. En effet, le monde animal nous parait si proche et pourtant si lointain de notre humanité... Certes, on se demande parfois, aux vues des faits qui nous sont rapportés si l'animal ne surpasse pas l'homme en intelligence et en sentiment.
Essayons d'y voir plus clair. Allan Kardec nous dit : "Au physique, l'homme est comme les animaux, et moins bien pourvu que beaucoup d'entre eux ; la nature leur a donné tout ce que l'homme est obligé d'inventer avec son intelligence pour ses besoins et sa conservation ; son corps se détruit comme celui des animaux, c'est vrai, mais son Esprit a une destinée que lui seul peut comprendre, parce que lui seul est complètement libre."
Bien, donc l'homme est semblable en nature par le physique et non par l'Esprit, mais pouvons-nous parler d'instinct ou d'intelligence ?
"Outre l'instinct, on ne saurait dénier à certains animaux des actes combinés qui dénotent une volonté d'agir dans un sens déterminé et selon les circonstances. Il y a donc en eux une sorte d'intelligence, mais dont l'exercice est plus exclusivement concentré sur les moyens de satisfaire leurs besoins physiques et de pourvoir à leur conservation".

PS : Comment avez-vous eu l'idée de faire ce livre ?

En fait ce n'est pas moi qui en ai eu l'idée, contrairement au premier livre.

A cette époque là en 2001, c'était plutôt un "challenge" lancé en blaguant par ma médium et moi "et si on faisait un livre de tout ce qui nous est arrivé avec Nicolas ?".

Nous avons commencé le jour même en nous remémorant nos communications, en réunissant les notes que je prenais alors pour chaque contact. Ce livre était vraiment raconté par moi, avec quelques petites phrases de Nicolas récoltées avec le système du verre (oui/ja).

Pour le Livre de Carpette : je n'ai jamais eu l'idée par moi-même de faire ce deuxième livre. Plusieurs fois au cours de nos communications par le pendule, Nicolas, Carpette, mon papa et mes amis, m'ont suggéré d'écrire ce livre pour expliquer ce qu'il se passait après la mort, et chez eux, dans l'Au-delà.

Nicolas m'a persuadée une dernière fois, en janvier 2009 après une tentative ratée de transcommunication (enregistrement des voix), à réessayer l'écriture automatique. Il me disait que par cette façon il pourrait nous expliquer plus en profondeur tout ce que tous doivent savoir sur la vie après la mort, pour tous, les humains et les animaux. J'ai commencé l'écriture automatique avec leur aide et durant tout le mois de janvier j'ai pris, sous leurs dictées, leurs communications pendant 1 à 2h/jour et je recopiais le soir, une fois reposée.

L'idée est venue d'eux et ils m'ont convaincue qu'avec de telles révélations, énormément de personnes seraient soulagées. Je n'ai pas hésité... j'avais eu et ai encore tellement de témoignages de lecteurs pour le livre "Lettres de Mon Fils"... il n'y avait même pas à hésiter !

PS : Pourquoi avez-vous pu, VOUS, communiquer avec l'Au-delà ?

C'est encore la question que je pose régulièrement à mon fils et à Carpette. Pourquoi moi ? Beaucoup communiquent, certains en parlent de plus en plus, écrivent leur "aventure". D'autres le font et n'osent pas en parler souvent par peur : la mort est encore un sujet tabou, alors la vie après la mort !

Moi franchement, je n'ai pas peur de la mort, ni surtout de ce que pensent les gens (en négatif).

Je réalise que sûrement j'avais cette faculté, ce don en moi, mais que j'ai, bien sûr reçu un immense cadeau divin afin de pouvoir arriver non seulement à communiquer mais aussi à faire ce livre, avec l'aide de l'Au-delà, seule je n'aurais même jamais imaginé ! Je pense que beaucoup d'autres personnes doivent avoir ce don. Il faut essayer surtout en respectant certaines règles... mais ne pas avoir peur. Ce don peut aider et soulager tellement de monde, eux en premier lieu.

PS : Vous considérez-vous comme une privilégiée ?

Oui bien sûr, mais encore une fois ce don peut se retrouver chez d'autres qui l'ignorent. Avoir un tel don est un privilège par tout ce qu'il apporte pour nous et pour les autres (le bonheur du contact avec nos êtres aimés dans l'Au-delà !). Je suis sûrement jugée parfois comme une "illuminée" aussi par certains, mais qu'ils pensent ce qu'ils veulent, cela ne m'atteint pas. Notre but lui est atteint, le livre est terminé, l'espoir et l'amour distribués.

PS : N'avez-vous pas peur de la réaction de certains détracteurs ?

Franchement ? Non, je m'en fiche. Je vais vous dire que jamais je ne me suis occupée du qu'en dira-t-on, je vis ma vie le mieux que je peux en essayant de ne nuire à personne, d'aider et d'aimer. Je n'oblige personne à y croire. Nicolas et Carpette non plus d'ailleurs. Si certains ne sont pas d'accord avec ce qui a été dicté, c'est leur problème. C'est dommage pour eux !

Ce qui m'importe, c'est la joie, l'espoir, l'amour qu'il apportera à tous les autres lecteurs qui sont dans le besoin de savoir, qui l'apprécieront et auront l'espoir d'un Au-delà où tous humains et animaux vivent ensemble, et surtout les attendent.

C'est ça le but du livre !!!

PS : Comment vous êtes-vous intéressée à l'ésotérisme ?

Nous vivions en Afrique quand j'étais petite (1951 à 1960) et pour une fancy-fair ma maman avait choisi d'être "Madame Blanche Diseuse de Bonne Aventure". Pour ce faire elle avait travaillé, étudié le tarot du "Petit Lenormand" et sûrement avec un don qu'elle avait en elle, qu'elle a développé, elle est arrivée à être une très bonne cartomancienne.

Au début de mon mariage, je lui avais demandé de me faire les cartes (ce qu'elle refusait généralement pour ses proches) ; ce qu'elle m'a dit à cette époque alors que j'étais mariée depuis un an... s'est malheureusement révélé exact (mon divorce 8 ans après).

J'ai toujours été attirée par les cartes et consultait régulièrement des voyantes. J'oubliais carrément, je ne tenais pas compte de ce qu'elles me disaient et surtout continuait à agir comme je le voulais. Je n'avais que du positif, jusqu'au jour un peu avant mon départ pour le Sénégal, où elle m'a dit que je terminerais la seconde partie de ma vie seule. J'ai pensé sans homme, et je lui ai dit "ça ce n'est vraiment pas grave".

En fait elle parlait du décès de Nicolas, j'allais avoir 50 ans !

Ma maman m'avait confié quelques temps avant notre départ pour le Sénégal ses cartes tarot ainsi que sa "bible" (ses notes d'études prises au fur et à mesure qu'elle pratiquait).

Après la mort de Nicolas, j'ai essayé, j'ai beaucoup étudié, travaillé, noté et j'y ai pris goût et confiance surtout que je parvenais à faire de bons tirages. Depuis 2006 je n'y ai plus touché. Il faut avoir l'esprit clair, toute la concentration et mon esprit ne l'était pas, il y avait des problèmes professionnels, de santé, ensuite mes déménagements, le livre... mais je m'y remettrai, j'aime trop cela, ne fut-ce que par plaisir, pour moi.

PS : Pour vous l'ésotérisme c'est quoi ?

Jamais je n'avais été intéressée par ce sujet. Je ne le connaissais même pas. A la mort de mon fils, mes amies m'ont fait parvenir une valise de livres traitant tous de la vie après la mort. J'ai alors fait la connaissance avec les différentes façons de communiquer avec les esprits.

Si d'autres y parvenaient, moi aussi je devais y arriver, j'y arriverais !

Et j'y suis arrivée : j'ai commencé à utiliser le système du verre (oui/ja) puis le pendule, la TCI et finalement l'écriture automatique. Nous sommes catholiques mais nous n'étions pas pratiquants. Depuis la mort de Nicolas, je crois qu'il y a un Maitre, un Dieu : sans lui je n'aurais jamais pu communiquer avec eux.

PS : Continuez-vous les communications avec votre fils ?

Oui, régulièrement. Vivant seule avec ma petite chienne, la copie conforme de Carpette, quand j'ai un problème, des doutes, une question spécifique en tête, j'appelle mon fils. Par lui et par ma petite chienne aussi, j'ai la possibilité de parler à mes parents, à mes amis décédés et à mes animaux. Je passe toujours par Nicolas ou Carpette.

PS : Qu'est-ce que cela vous apporte ? Est-il sain de continuer ces communications ?

Je ne vois pas pourquoi cela ne serait pas sain, (pour autant que je n'appelle personne d'autre que mon fils), tant qu'il m'accorde sa confiance, son temps et son amour en communiquant avec moi.

Il me l'a souvent répété, ils seront là pour moi tant que j'en éprouverai le besoin, ils me guident, me conseillent, m'encouragent, je suis libre de suivre ou non leurs conseils, je suis libre de mes décisions. Il est vrai que quelques fois je ne vais pas dans le sens conseillé (étant un peu têtue). Ils sont là avant tout pour me faire réfléchir sur mes décisions, me montrer autre chose, me laisser faire une bêtise et me faire entendre que j'ai eu tort, et souvent je reviens à leurs conseils. Je dois avant tout faire mon chemin moi-même !

Cela m'apporte tout d'abord énormément d'amour, de réconfort, de confiance en moi, de courage. Je ne suis pas seule.

J'ai toujours fait comme je le pensais, maintenant ils me confortent ou pas dans mes idées, dans ma vie. C'est un réel trésor, un immense bonheur. Cela n'est pas non plus une dépendance : je peux rester des semaines sans les appeler, par contre il y a des jours où je peux appeler plusieurs fois. Ils ont toujours été là.

PS : Pensez-vous écrire un troisième livre ?

Alors là non, pas du tout, du moins pas à ma connaissance. Mais l'avenir nous réserve toujours des surprises n'est-ce pas... Alors qui sait ?

PS : Que conseillez-vous après ce livre, aux lecteurs ?

Comme je l'ai toujours pensé . vivre sa vie comme on peut d'abord, mais aussi comme on veut en essayant de ne blesser personne, en donnant le plus possible d'amour, de bonheur autour de soi, en écoutant les autres, en étant tolérant... La vie n'est pas facile, souvent amère même pour certains. Mais surtout il faut bien se dire que la vie ici sur terre n'est qu'un passage.

Qu'après nous vivrons notre vie dans l'Au-delà plus belle que celle d'ici et que nous y retrouverons tous ceux que nous avons aimés ici-bas, humains et animaux.

Qu'ils sachent aussi que tous (la plupart du moins, selon la vie menée sur terre), ont trouvé le bonheur dans ce paradis d'amour et de joies, ils y vivent heureux et les y attendent.





28 février 2013

Les manifestations métapsychiques des animaux, d'Ernest Bozzano

Les manifestations métapsychiques
des animaux

130 cas prouvant la médiumnité animale
d'Ernest Bozzano

Mise à jour : Livre en ligne

Cet ouvrage constitue la première classification méthodique des phénomènes psychiques liés aux animaux. A la suite d'une étude qui recense 130 cas, Ernest Bozzano peut répondre sans hésitation à plusieurs questions sensibles. Au même titre que les humains, les animaux survivent à leur mort physique. De même, ils sont sensibles aux phénomènes psychiques. Bozzano va très loin dans ses recherches qui éclairent les phénomènes de transcommunication d'un jour nouveau. Il est le premier à avoir mis en relief une loi psychique qu'il a appelée "loi de moindre résistance" qui sert aujourd'hui de base pour la compréhension d'un grand nombre de phénomènes jusqu'alors inexpliqués. Ce livre dépasse la simple énumération de faits émouvants pour avancer des hypothèses de travail indispensables aux chercheurs les plus exigeants.

Les manifestations métapsychiques des animaux, Ernest Bozzano, JMG Editions, 1998, 219 pages

Pour en savoir plus

- Le site JMG Editions
- D'autres livres du même éditeur
- Cette liste d'ouvrages spirites en téléchargement gratuit

A propos de l'auteur

De formation positiviste, Ernest Bozzano s'est intéressé à la parapsychologie après une véritable crise de conscience. Il a évolué rapidement vers le spiritisme dont il a été un fervent militant. Membre d'honneur de l'Institut Métapsychique International, il a écrit de nombreux livres que JMG Editions réédite peu à peu.

Le sommaire

Avant Propos
Première catégorie
. Hallucinations télépathiques dans lesquelles un animal joue le rôle d'agent
Deuxième catégorie
. Hallucinations télépathiques dans lesquelles un animal est le percipient
Troisième catégorie
. Hallucinations télépathiques perçues collectivement par l'animal et par l'homme
Quatrième catégorie
. Visions de fantômes humains, s'étant réalisées en dehors de toute coïncidence télépathique, et perçues collectivement par les hommes et les animaux
Cinquième catégorie
. Animaux et prémonitions de mort
Sixième catégorie
. Animaux et phénomènes de hantise
Septième catégorie
. Matérialisations d'animaux
Huitième catégorie
. Vision et identification de fantômes d'animaux décédés
Conclusions

Extraits choisis

P120-P121

Mr William Ford, résidant à Reading, Angleterre, écrit dans les termes suivants au Light, 1921, p.569 :

Dans ma jeunesse, je possédais un chien de berger de race croisée et à queue courte, que j'avais dressé à grouper et guider les moutons et les boeufs. Nous avons passé ensemble bien des journées heureuses dans la ferme paternelle. Le jour arriva où les affaires m'obligèrent de quitter la maison et mon chien fut donné à un vieux fermier résidant près de Maidstone. Bientôt ce vieil homme et le chien devinrent des compagnons inséparables. Partout où l'homme allait, l'animal le suivait. Cette amitié attendrissante continua ainsi durant trois ans.
Un matin, le vieux fermier ne se leva pas à l'heure accoutumée et son fils alla voir ce que pouvait bien signifier cette infraction aux habitudes paternelles. Le vieillard, avec le plus grand calme, annonça que son heure était arrivée et demanda qu'on lui apportât le chien, qu'il voulait voir une fois encore avant de mourir.
Le fils tenta de persuader son père que ces affirmations n'étaient que le produit d'une lugubre fantaisie, mais comme son insistance contrariait le vieillard, il alla chercher le chien et le lui amena. Aussitôt que l'animal fut dans la chambre, il sauta d'un bond sur le lit et flatta son vieux maître. Après quoi, il se retira dans un coin et commença à hurler lamentablement. On l'emporta, on le gronda, on le caressa. Rien ne réussit à le réconforter ou à le faire taire. Il finit par se retirer dans son chenil, en proie à un abattement si profond et si désespéré qu'il mourait à 8h30 du soir. Son vieux maître le suivit dans l'au-delà à 10h.
Dix ans après, j'étais assis dans un cercle expérimental privé. A un certain moment, le médium eut un sursaut. On lui demanda ce qu'il avait pu voir et il répondit : "Il me semblait voir un ours ; ce n'était qu'un chien." Il est tombé dans le cercle d'un bond, il a appuyé les pattes de devant sur les genoux de M. Ford et il l'a léché. Il donna ensuite une description minutieuse du chien qui était apparu, elle correspondait absolument à celle de mon chien de berger. Le médium conclut en disant : "Il avait un museau qui semblait sourire". Ce détail aussi s'adaptait bien à mon chien. Quant à moi, je ne doute nullement de l'identité de l'animal apparu.


P164-P167

Je cite en dernier lieu quelques extraits des comptes rendus des séances avec le médium polonais Franck Kluski, parues dans la Revue Métapsychique, d'où il ressort qu'on se trouve vraisemblablement en face d'une première sérieuse contribution expérimentale en faveur des matérialisations animales.
Déjà dans le fascicule de juillet-août 1921, p.201, de la revue en question, le docteur Gustave Geley, qui avait assisté aux séances, annonçait la publication imminente des comptes rendus sur le phénomène extraordinaire des matérialisations animales, dans les termes suivants :

Les matérialisations de formes animales ne sont pas rares avec Franck. Dans les comptes rendus des séances de la "Société d'études psychiques de Varsovie", que nous publierons prochainement, nous verrons signalés, spécialement, un gros oiseau de proie, apparu à plusieurs séances et photographié ; puis un être bizarre, sorte d'intermédiaire entre le singe et l'homme, une face simiesque, mais un front développé et droit, la figure et le corps couverts de poils, des bras très longs, des mains fort longues, etc. Il semble toujours ému, prend les mains des assistants et les lèche comme ferait un chien.
Or, cet Etre, que nous avions surnommé "le Pithécanthrope", s'est manifesté plusieurs fois pendant nos séances. L'un de nous, à la séance du 20 novembre 1920, sentit sa grosse tête velue s'appuyer lourdement sur son épaule droite, contre ses joues. Cette tête était garnie de cheveux drus et rudes. Une odeur de fauve, de "chien mouillé", se dégageait de lui. Un des assistants ayant alors avancé sa main, le "Pithécanthrope" la saisit, puis la lécha longuement à trois reprises. Sa langue était large et douce.
D'autres fois, nous avons senti, sous nos jambes, des contacts rappelant les frôlements des chiens...


Le rapport des séances auxquelles il est fait allusion dans le paragraphe ci-dessus a été publié dans le numéro de janvier-février 1923 p.27-39, de la Revue Métapsychique. J'emprunte au compte rendu de la séance du 30 août 1919 le passage suivant :

...On remarque simultanément plusieurs apparitions. La première qui se fit bien voir fut une apparition qui était déjà connu des assistants au cours des séances antérieures. C'était un être de la grandeur d'un homme adulte, fortement poilu, avec une grande crinière et une barbe embroussaillée. Il était revêtu comme d'une peau craquante ; son apparence était celle d'un être rappelant une bête, ou un homme très primitif. Il ne parlait pas, mais il lançait des sons rauques avec ses lèvres, claquait de la langue et grinçait des dents, cherchait en vain à se faire comprendre. Lorsqu'on l'appelait, il s'approchait ; il laissait caresser sa peau velue, touchait les mains des assistants et leur grattait la main fort doucement avec des griffes plutôt qu'avec des ongles. Il obéissait à la voix du médium et ne faisait pas de mal aux assistants en les touchant fort doucement. C'était un progrès, car, aux séances antérieures, cet être manifestait une grande violence et une grande brutalité. Il avait une tendance visible et une volonté tenace à lécher les mains et le visage des assistants, qui se défendaient de ses caresses bien désagréables. Il obéissait à chaque ordre donné par le médium, non seulement quand cet ordre était exprimé par la parole, mais même exprimé par la pensée.

J'extrais cet autre passage du compte rendu de la séance du 3 septembre 1919. Le rapporteur écrit :

Simultanément, le médium et les personnes assises autour de lui sentirent la présence de la bête - homme - primitif, comme pendant les séances antérieures. Cette matérialisation fit le tour des assistants en leur léchant les mains et le visage, sur lesquels il promenait sa main ou patte velue, ou appuyait sa tête hirsute. Tous ces gestes furent lents et non brusques. Cette "entité" montrait seulement une certaine animosité contre la petite chienne de Mme Kluska ("Frusia"), qui se tenait sur les genoux de Mlle Grzelak. La matérialisation tira les poils et les oreilles de la petite chienne qui commença à se fâcher et à aboyer. Enfin, très effrayée, la chienne sauta des genoux de Mlle Grzelak et alla se réfugier sur le canapé entre les personnes qui s'y trouvaient assises et n'en bougea plus.

On suspendit la séance pendant quelque temps. Quand on la reprit, l'homme primitif se matérialisa de nouveau. Le compte rendu continue ainsi :

Dès le début, on vit plusieurs apparitions, entre autres celle de l'homme primitif. Ce dernier resta tout le temps assis à terre sur le tapis, entre les assistants. Il se tenait relativement tranquille, mais il ne permettait pas de l'éclairer avec les écrans lumineux, et arracha même en grognant l'écran que tenait Mme Kluska.

Les comptes rendus dont il s'agit contiennent trois autres épisodes de matérialisation du même fantôme "d'homme primitif". Je ne les reproduis pas, étant donné qu'ils sont analogues aux précédents.
Pour ce qui a trait aux matérialisations du grand oiseau de proie, je ne trouve dans les comptes rendus en question qu'une seule allusion à l'un de ces faits, au cours de la séance du 7 septembre. Le rapporteur écrit :

A 11h20, on volt un grand oiseau (comme l'aigle ou le vautour de la séance n°1, bien matérialisé et bien éclairé au-dessus de la tête de Mme Jankowska). On entend aussi des craquements et des bruits de pas.

Je ferai observer à ce propos que dans la Revue Métapsychique, janvier-février 1923, a été publiée une très belle photographie de l'oiseau de proie dont je parle. On l'y voit perché sur l'épaule gauche du médium, ses grandes ailes déployées, le regard perçant dirigé vers les expérimentateurs.
Telles sont les manifestations toutes récentes en fait de matérialisations d'animaux ; matérialisations qui revêtent une importance en même temps scientifique et métapsychique. La circonstance que le grand oiseau de proie a été photographié est d'une valeur théorique décisive, puisqu'il suffit pour éliminer l'hypothèse hallucinatoire. Et quels espoirs d'une future science anthropologique-supranormale ne permet pas cette apparition matérialisée d'un être présentant tous les traits caractéristiques de l'un de nos lointains ancêtres, anneau de conjonction entre l'homme et les singes anthropoïdes, en confirmant les inductions des naturalistes sur l'existence du "Pithécanthrope alalus" ? Le sujet est fort passionnant sans doute et suggère tout naturellement des considérations étendues sur la philogenèse humaine ; mais nous ne devons pas ici nous aventurer en des discussions prématurées.

Matérialisation de l'oiseau de proie sur l'épaule de Franck Kluski, médium
D'autres images de ce médium sur ce lien (recherche : Franek Kluski)


P190

En passant maintenant à l'exposé des cas qui ne sont plus explicables par la clairvoyance télépathique, je commence par un fait curieux, qui s'est réalisé dans le somnambulisme magnétique, et que j'extrais du livre d'Adolphe d'Assier : L'Humanité Posthume, p.83. Cet auteur écrit :

Vers la fin de 1869, me trouvant à Bordeaux, j'ai rencontré un soir un ami qui se rendait à une séance de magnétisme, il me proposa d'aller avec lui. J'ai accepté l'invitation, désireux que j'étais de voir de près les phénomènes magnétiques, que je ne connaissais alors que de nom. La séance n'a rien présenté de remarquable. Elle a été la répétition de ce qu'on obtient ordinairement dans ces circonstances. Une jeune dame servait de somnambule. A en juger par la façon dont elle répondait aux consultants, elle devait être assez clairvoyante. Néanmoins, ce qui m'a le plus surpris au cours de cette séance a été un incident imprévu. Vers le milieu de la soirée, l'une des personnes qui assistaient aux expériences, ayant vu une araignée sur le parquet, l'écrasa du pied. Aussitôt ma somnambule s'écria : "Tiens, tiens ! J'aperçois l'esprit d'une araignée qui s'envole !" On sait que, dans le langage du médium, le mot "esprit" indique ce que j'ai appelé le "fantôme posthume". Le magnétiseur demanda : "Sous quelle forme le voyez-vous ?" La somnambule répondit : "Sous la forme d'une araignée". De ce temps là, je ne savais que penser de cet étrange incident. Je ne doutais pas de la lucidité de la somnambule, mais comme je ne croyais à aucune manifestation posthume humaine, il était naturel que je n'en admisse pas pour les animaux. L'explication du mystérieux incident me parut claire plusieurs années après, lorsque, ayant acquis la certitude du dédoublement humain, je m'employais à découvrir le phénomène analogue chez les animaux domestiques. A la suite de mes recherches, je me suis convaincu que la somnambule de Bordeaux n'avait été victime d'aucune hallucination, comme il arrive quelquefois dans les séances magnétiques, et qu'elle avait observé un phénomène objectif et réel.

Livre en ligne

(Si le pdf ne s'affiche pas ci-dessous, cliquez ici ou .)




27 février 2013

L'animal et le spirite, de François Gras

L'animal et le spirite
Plaidoyer en faveur
de la cause animale

de François Gras

Notre passage sur Terre est l'occasion de fortifier nos âmes dans les épreuves de l'incarnation. Ne gâchons pas cette chance qui nous a été donnée par le Grand Ordonnateur en nous comportant comme des êtres peu évolués. La façon dont nos sociétés traitent les animaux prouve que la Terre est un monde très bas sur le plan spirituel. L'homme, avide de pouvoir et d'argent, et ne voulant surtout rien au-dessus de lui, traite les animaux comme des objets qu'il supplicie à outrance. Le jour viendra où il faudra rendre des comptes et ce jour-là, il y aura "des pleurs et des grincements de dents", comme le disait le Christ. Ce livre se donne pour ambition de restituer aux animaux la place qu'ils méritent dans la Création. Les bêtes sont des créatures de Dieu vouées à un destin providentiel qu'il nous faut protéger de toutes nos forces, au risque de nous renier nous-mêmes.

L'animal et le spirite, François Gras, Editions Lulu, 2012, 180 pages

Ce livre est en vente sur le site de l'éditeur ou sur Amazon.

A propos de l'auteur

François Gras est né à Fréjus dans le Var. Après avoir étudié la philosophie et le droit, il est initié en franc-maonnerie. Déçu par le manque de spiritualité en loge, cet ancien vénérable débute son voyage spirituel à la lecture du Livre des esprits codifiié par Allan Kardec. Spirite engagé, il milite en faveur de la cause animale.

29 septembre 2012

Nos compagnons éternels, de Jenny Smedley


Nos compagnons éternels
Merveilleuses histoires vraies
sur les animaux angéliques
de Jenny Smedley

Vous arrive-t-il de regarder dans les yeux de votre animal de compagnie et d’y déceler, au-delà de la relation habituelle qui unit un être humain à son compagnon, un lien plus profond ? Vous demandez-vous si vos deux âmes sont reliées ? Si votre animal pouvait parler, que dirait-il selon vous ? Vous arrive-t-il de prier que, si votre compagnon venait à mourir, ce ne serait pas la fin pour lui et que vous auriez la possibilité de le revoir un jour ? Pensez-vous que nos compagnons vont au paradis ?

Dans ce livre, Jenny Smedley, auteur du best-seller "Pets have souls too", explore les nombreuses caractéristiques spirituelles des animaux, propose des conseils pour vous aider à mieux communiquer avec votre compagnon et relate des histoires d’animaux revenus de la mort et habités par la grâce divine. "Nos compagnons éternels" se veut être un livre qui rassemble les animaux et les humains de cette planète et qui apporte du réconfort à ceux qui ont perdu leurs compagnons en leur prouvant que ceux-ci ne meurent jamais vraiment.

Nos compagnons éternels, Jenny Smedley, Traduction de Claire Perreau, Titre original : Pets are forever. Préface de Brian May, musicien du groupe Queen, Editions AdA, 2012, 248 pages

Au sommaire
1. Animaux familiers - Aspect psychique
2. Communication avec les animaux
3. Animaux familiers - Anecdotes


A propos de l'auteur

Jenny Smedley est connue pour ses travaux à titre de guérisseuse, de thérapeute, et de conseillère, ainsi que pour son amour des animaux. Elle écrit pour les magazines Chat - It’s Fate et Soul & Spirit, pour lequel elle rédige des articles mensuels. Elle est apparue dans plusieurs émissions télévisées, où elle explique le pouvoir magique des anges et la vérité sur la vie après la mort. Elle vit dans le magnifique comté de Somerset avec Tony, son mari depuis plus de 40 ans, et avec KC, leur chien réincarné.

Pour en savoir plus

- Le site de Jenny Smedley
- Le site des Editions AdA
- La rubrique Animaux et au-delà pour bien d'autres livres sur ce thème

La vie divine des animaux, de Ptolemy Tompkins


La vie divine des animaux
La quête d’un homme qui veut découvrir
si l’âme des animaux survit après la mort
de Ptolemy Tompkins

Un voyage à travers 20.000 ans d’histoire et de mythes dans le but de répondre à une seule question : les animaux ont-ils une âme ?

Toute personne qui a déjà pleuré la perte d’un animal chéri s’est demandé ce qu’il était advenu de son âme. Les animaux survivent-ils à la mort physique, ou sont-ils condamnés à disparaître entièrement quand ils quittent ce monde ? Les scientifiques et les autorités religieuses se sont longtemps moqués de l’idée voulant que les animaux puissent aller au ciel. Et pourtant, la question demeure. Dans ce livre empreint de sagesse et agréable à lire, Ptolemy Tompkins se lance dans une quête pour trouver la réponse et nous fait explorer en accéléré l’histoire de l’âme des animaux.

Etant à l’aise autant avec les philosophies traditionnelles qu’avec les philosophies spirituelles alternatives, Ptolemy Tompkins nous entraîne dans les savanes africaines jusqu’aux premières villes créées sur la Terre, là où sont nées les grandes traditions religieuses de l’Orient et de l’Occident. Il nous démontre que, malgré ce que bon nombre d’entre nous ont appris, les différentes traditions spirituelles dans le monde ont toutes dans leurs écrits d’importantes choses à nous transmettre à propos de l’âme des animaux. Il suffit de savoir où regarder. Faisant ressurgir ces connaissances anciennes et les combinant à des histoires saisissantes d’animaux d’aujourd’hui - allant d’un lapin nain nommé Angus à un lamantin nommé Moose, jusqu’à une ourse noire nommée Little Bit -, "La vie divine des animaux" trace un portrait glorieusement complet du cosmos en tant que lieu composé de l’âme et de la matière, et dans lequel les animaux sont tout aussi importants, du point de vue spirituel, que les êtres humains avec qui ils partagent le monde. Etonnamment original, ce livre peut d’abord sembler étrange, mais son contenu devient vite familier, car il révèle des vérités que beaucoup gardaient au fond de leur coeur, attendant simplement que quelqu’un jette un regard nouveau sur l’une des intuitions les plus anciennes et les plus immuables que nous portons en nous.

La vie divine des animaux, Ptolemy Tompkins, Editions AdA, 2012, 258 pages

Pour en savoir plus

- Le site des Editions AdA
- La rubrique Animaux et au-delà pour bien d'autres livres sur ce thème

24 juin 2012

Les animaux et l'au-delà, de Kim Sheridan

Les animaux et l'au-delà
De vraies histoires
Une vie après la mort
pour nos compagnons bien aimés

de Kim Sheridan

Les animaux ont-ils une âme ? Qu'arrive-t-il quand ils meurent ? Ce livre offre quelques réponses étonnantes...

Kim Sheridan a grandi avec des animaux qui ont été ses fidèles compagnons. Chaque fois qu'elle a dû faire face à la mort d'un animal bien-aimé, les mêmes questions ont surgi, accompagnant la douleur, questions auxquelles elle ne pouvait répondre. Puis, des choses mystérieuses qu'elle ne pouvait expliquer ont commencé à se produire, l'amenant dans un voyage incroyable pour découvrir la vérité.

Avec ses propres expériences extraordinaires, elle a compilé les histoires vraies, réconfortantes et significatives de personnes ordinaires provenant des quatre coins du monde. Elle a découvert l'évidence irrésistible qui a effacé pour toujours ses propres doutes au sujet d'une vie après la mort pour les animaux

Les animaux et l'au-delà, Une vie après la mort pour nos compagnons bien aimés, Kim Sheridan, Editions AdA, 2007, 540 pages

A propos de l'auteur

Kim Sheridan, experte de la vie après la mort chez les animaux, est conférencière et dirige des ateliers pour fournir du soutien à ceux dont les compagnons animaux bien-aimés ont trépassé. Invitée populaire à la radio et à la télévision, elle est aussi la fondatrice du Compassion Circle, dont la mission est d'étendre le cercle de compassion à tous les êtres. Elle habite la Californie du Sud avec son époux, Jameth, médecin naturopathe, et leur famille d'animaux bien-aimés. Tous sont vegans (animaux compris).

Pour en savoir plus

- Le site officiel de Kim Sheridan
- La rubrique Animaux et au-delà
PS. Ce livre est également classé dans la rubrique Télépathie / Parler aux animaux car il en est aussi question.

Au sommaire

Remerciements
Introduction
1. Au commencement
2. La nouvelle venue
3. Conversations avec une rate appelée June
4. L'étape suivante
5. Questionner les animaux
6. Relier le ciel et la Terre
7. L'aller-retour : L'expérience de mort imminente
8. Les visiteurs célestes
9. Un contact du paradis
10. De la musique à mes oreilles
11. Une odeur de paradis
12. Quand voir devient croire
13. Visions de l'Au-delà
14. Des rêves doux
15. Des signes et des messages
16. De douces réunions
17. Le périple continue
18. La partie difficile est de laisser partir
19. Faire le saut
20. Voir les animaux sous un jour nouveau
21. Boucler la boucle
Au sujet de l'auteur
Ressources

Quelques extraits et citations
(j'ajouterai bientôt d'autres extraits plus longs)

./. L'âme est la même chose chez toutes les créatures vivantes, bien que le corps de chacune soit différent. - Hippocrate

./. C'est le lien d'amour qui rend la mort difficile, et plus le lien est fort, plus difficile est la perte, sans égard à l'espèce.

./. Les miracles arrivent, pas en opposition avec la nature, mais en opposition avec ce que nous connaissons de la nature. - Saint Augustin

./. La question n'est pas : peuvent-ils raisonner ? ni : peuvent-ils parler ? mais : peuvent-ils souffrir ? Pourquoi est-ce que la loi refuse sa protection à quiconque est un être sensible ? ./. - Jeremy Bentham, 1748-1832

./. Je racontais ./. la parabole au sujet de la personne qui relançait les étoiles de mer trouvées sur la plage dans l'océan pour les sauver. Il y avait d'innombrables étoiles de mer qui avaient été amenées par la marée sur le rivage et qui couvraient toute la plage. Quand la personne se fit dire par un spectateur que c'était inutile, qu'il y avait tellement d'étoiles de mer sur la plage qu'elles ne pouvaient pas possiblement toutes être sauvées - et que ces efforts ne feraient aucune différence - la personne jeta encore une autre étoile de mer dans l'océan et répondit : "Cela a fait toute la différence du monde pour celle-ci".

Un reportage avec Kim Sheridan
(en anglais)


Un entretien avec Jameth Sheridan
s'exprimant sur les bienfaits du végétalisme et du crudivorisme


22 juin 2012

Documentaire : Mon chat est mort ce soir


Mon chat est mort ce soir
Enquête sur le deuil de nos compagnons à quatre pattes
Un volet de l'émission suisse Temps Présent

« Il était intelligent, exceptionnel, gentil ... ». Des propos que l'on tient lors du décès d'un parent, mais souvent aussi ... lors de la mort de son animal domestique. Comment vit-on la disparition de son chat ou de son chien adoré ? Et comment faire le deuil de son compagnon d'une vie ?

En Suisse 385.000 ménages possèdent des chiens, plus d'un million de chats sont domestiqués. De plus en plus, l'animal de compagnie occupe une place centrale dans la vie des gens. La mort de son compagnon à quatre pattes, c'est souvent, toute proportion gardée, vivre un deuil très semblable à celui que l'on pourrait éprouver pour un être humain.

Certains se réfugient dans des rituels, ou dépensent des sommes folles pour organiser de véritables enterrements... D'autres, pour qui le chagrin est trop fort, ne feront jamais vraiment le deuil de leur meilleur ami. Pour immortaliser leur cher disparu, ils iront alors le faire naturaliser.

Les vétérinaires eux aussi, sont confrontés au quotidien à la mort de leurs patients à quatre pattes. Et ça n'est jamais facile. Ils ont la tâche difficile d'euthanasier les animaux malades ou trop âgés, d'y préparer les propriétaires, de trouver des mots qui réconfortent. Un acte stressant au point que la profession connaît un taux de suicide non négligeable.

Encore peu connu, souvent mal compris, le deuil d'un animal domestique est aujourd'hui un vrai phénomène de notre société.

Un reportage de Catherine Kammermann et Jean Quaratino. Image : Jean-Dominique De Weck. Son : Philippe Combes. Montage : Véronique Rotelli. Présentation : Jean-Philippe Ceppi. Durée : 54min.

Un reportage inédit et émouvant.
A ma connaissance, c'est la toute première émission
consacrée au deuil animalier.

Visible en ligne ci-dessous
ou bien sur la page de Temps Présent.



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- Deuil animalier, de France Carlos
- Quand l'animal s'en va, de Marina Von Allmen-Balmelli
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